Madame Christine

La chevalière sans peur
A qui ce qu’on reproche c’est d’être aussi sans cœur
Gestionnaire avisée
Attentive aux biens nés et aux biens fortunés
Rêve d’une nomination dans les plus hautes couches
Dont le but secret
Est de se faire violer quand elle sort de sa douche !

L’Hommage :

A l’heure où la France, pour sauver la face perdue par une paire, s’apprête à donner à la finance mondiale la mère protectrice dont elle a besoin pour faire oublier les agissements d’un père fouettard qui confond les orifices féminins avec des distributeurs de billets, rendons hommages à la rigueur austère de Christine Lagarde, qui est à la libido ce qu’Anne Lauvergeon est à la bio énergie ! Oui rendons hommage à notre bientôt ex ministre des finances dont on dit qu’elle maitrise parfaitement l’Anglais pour faire oublier que si la langue de la finance était le Ch’tis, elle  ferait traduire ses discours par Dany Boon. Pourtant, des cris s’élèvent pour rappeler que, si elle n’a pas l’habitude de sortir nue de la salle de bain, notre championne risque quand même de se prendre les pieds dans le tapie du même nom ! Comme autant de panneaux avertisseurs de procès semés sur la route de la reine du brushing grisonnant, certains pensent que l’on ne peut pas, mathématiquement, rester si longtemps, à un poste clef de la politique et de l’économie sans avoir goûté d’une manière ou d’une autre à la confiture qui est dans le pot !

Qu’importe, l’honneur de la France doit être lavé. Alors, n’hésitons plus et nommons une femme qui a des casseroles dans son parcours pour faire oublier un homme qui a une sauteuse dans le slip ! Bien sûr, le sourire carnassier de Christine ne pourra pas faire oublier le regard charmeur de Dominique, mais les requins de la finance n’ont pas besoin d’être charmés. Madame Lagarde dégage l’érotisme d’un billet de 5 euros, peut être, mais les chiffres n’ont pas de sexe. C’est d’ailleurs pour cela qu’il n’existe pas de billets de 69 euros… Et encore moins de 69 Dollars. Alors bien sûr, son départ laissera un vide à Bercy, mais, pour remplacer cette femme hors paire, nous avons sous la main un homme à couilles qui ne demande qu’à prendre sa suite au ministère des finances pour le plus grand bien de la probité financière Française : BERNARD TAPIE !

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