Le pied occulte

Toi qui était chargé de la fonction publique
Railleurs et persifleurs vont pouvoir t’assommer
Oubliant ton KO dans la fonction pubis
Nous dirons simplement que tu es un Tron… sonné !

L’Hommage :

A l’heure où le concombre Espagnol commençait à peine à faire oublier la banane de DSK, rendons hommage à celui dont on dit : « C’est pas parce qu’un fétichiste des pieds est pris la main dans le sac, que les fétichistes des sacs ne doivent pas continuer à prendre leurs pieds ! » Oui rendons hommage à cet homme qui n’aimait pas les femmes de la tête au pied mais du talon aux orteils et soyons compatissant et solidaire avec celui qui avait le désir si mal placé qu’il était obligé, pour trouver chaussure à son pied, d’enfiler des chaussettes avec son sexe. Avec l’affaire George Tron, l’actualité a dévoilé une nouvelle partie de la vie des parties des hommes de parti. D’autant plus que parti sur la pointe des pieds, il ne fut retenu par personne : Aucun bruit de couloir de l’Assemblée n’ayant relaté le moindre soutien au ministre démissionnaire force est de constaterque lorsqu’il a dit : « Je me tire » tout le monde a trouvé l’idée de Tron, bonne en coulisse ! Oui, excuses moi, lecteur exigeant, mais je n’ai pas pu m’empêcher.

Le ministre de la fonction publique harcelait les femmes dans sa mairie et prenait son pied en massant ceux des autres. Quelques semaines après avoir appris que DSK prenait le sien sur le col des femmes de chambres, ça commence à faire beau cul ! Pardons, beaucoup ! Si en plus on rajoute le coup du concombre Espagnol, on a envie de crier : « Cul, cul, bite… Assez ! » Là non plus, je n’ai pas pu résister car l’écriture c’est le contraire de l’amour : C’est quand on est dans le jus qu’on se lâche et non pas le contraire. Je sais, c’est vulgaire, mais si les hommes politiques arrêtaient de nous exciter, on pourrait se remettre à parler de cul pour caricaturer leurs histoires politiques alors que là, si ça continue, on va être obligé de parler de politique pour caricaturer leurs histoires de cul ! En effet, on s’aperçoit que les hommes politiques à qui l’on reprochait d’être éloignés de nos préoccupations par la pensée sont, au niveau de leur sexe, comme notre vie quotidienne : De plus en plus durs. Maintenant qu’en plus, des soupçons de turpitudes juvéniles et Marocaines planent sur un ancien ministre dont on ose espérer qu’il ne fût pas de l’éducation nationale (même si le fait qu’il fût des anciens combattants ne le dédouanerait… Guerre…) il faut, tout en continuant de se demander si l’homme politique a une âme affirmer par ailleurs, qu’il a un sexe !

Retrouvez Jean-Patrick Douillon sur Le coq des Bruyères ou encore sur son blog Jean-Patrick Douillon au quotidien

Comments

[H-IL]

...bon samedi à toi Bogou