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AlmanaBiGou...Le blog fait pour vous
22 mars 2012

Journal d’une curée de campagne

imagesA l’heure où plusieurs car de vieux se sont retrouvés à Villepinte au meeting de Sarkozy en croyant aller assister au dernier concert de Charles Aznavour, le président par intérim candidat-vacillant-challenger tente désespérément de recoller au score du favori toujours poussé par les leader socialistes qui affûtent déjà les couteaux qu’ils ne manqueront pas de lui planter dans le dos le moment venu ! Et, pour nous inciter à voter pour lui, celui dont on a du mal à trouver un surnom neuf, ne trouve rien de mieux que de rechercher la pitié. D’un côté son épouse aimante murmure qu’en cas de réélection elle s’inquiète pour sa santé, ce qui prouve qu’elle est bien la seule à ne pas s’être aperçue qu’il était déjà complètement malade ! De l’autre, Nicolas Sarkozy lui même, nous menace de quitter la politique s’il est battu ce qui permettra de trouver, dans la prochaine édition du Petit Larousse, le mot espoir comme synonyme du mot menace !  Pour tous les observateurs de la vie politique, cette situation est inédite et à mon avis, elle ne s’explique que pas la sortie prochaine sur tous les écrans Français du film Cloclo.

Cette théorie personnelle vaut ce qu’elle vaut mais oui, je pense réellement que c’est l’excité à paillette qui a du inspirer l’excité à talonnette par l’une de ses chansons. Branchez votre vieux tourne-disques et écoutez : « J’ai besoin qu’on m’aime, mais personne ne comprend ce que j’espère et que j’attends. Qui pourrait me dire qui je suis ? Et j’ai bien peur toute ma vie d’être incompris. Car aujourd’hui : je me sens mal aimé, je suis le mal aimé. Les gens me connaissent tel que je veux me montrer. Mais ont-ils cherché à savoir d’où me viennent mes joies ? Et pourquoi ce désespoir caché au fond de moi … ?» Le problème, c’est que quand j’ai exposé ma théorie à un copain socialiste, il m’a répondu : « Quand j’étais rue de Solferino, il y a quelque mois. Un jour qu’on était réuni, Martine nous rapporta. De ses jolies petites primaires un candidat super, il s’appelait petit François mais quand on le regardait faire… Il faisait « Rien » quand il roulait, « Rien » quand il tournait, « Rien » quand il marchait. Je ne sais pas pourquoi c’était, mais ça l’faisait passer pour un benêt ! Du coup, j’en ai plus parlé à personne parce que je n’ose même pas imaginer ce que ferait Jean Luc Mélenchon s’il avait un marteau !

 

Un article de Jean-Patrick Douillon pour Le coq des bruyères

Jean-Patrick Douillon en scène :
« Soirée Chansonnier avec JC Duquesnoy et S. Llado » le Vendredi 23 Mars à CHASSE-SUR-RHONE

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Commentaires
D
Bien trouvé !<br /> Bon jeudi.<br /> Bisoux
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